Depuis un certain temps, pour échapper à une éventuelle redondance des articles « images/voix/musique », je cherchais désespérément une nouvelle idée pour présenter les œuvres d’Alain d’une manière toujours attrayante.
En survolant certaines de ses œuvres, j’ai trouvé un arrosoir qui servait fréquemment de « modèle » dans ses natures mortes. Cet objet m’a immédiatement remémoré une chanson que ma mère fredonnait quand j’étais une enfant. Il y avait eu des chansons qui rythmaient ses genoux sur lesquels elle me faisait sauter. J’entends mes éclats de rire aux sons de « Nuit de Chine nuit câline … », « La petite Tonkinoise », « Je cherche après Titine », … Puis un peu plus tard, des chansons dont l’histoire « tragi-comiques » me faisaient vraiment rire.
Je vous propose donc d’écouter l’une d’entre elles en illustration de trois gouaches avec le fameux
« Arrose-zoir ». de cette chanson :
En survolant certaines de ses œuvres, j’ai trouvé un arrosoir qui servait fréquemment de « modèle » dans ses natures mortes. Cet objet m’a immédiatement remémoré une chanson que ma mère fredonnait quand j’étais une enfant. Il y avait eu des chansons qui rythmaient ses genoux sur lesquels elle me faisait sauter. J’entends mes éclats de rire aux sons de « Nuit de Chine nuit câline … », « La petite Tonkinoise », « Je cherche après Titine », … Puis un peu plus tard, des chansons dont l’histoire « tragi-comiques » me faisaient vraiment rire.
Je vous propose donc d’écouter l’une d’entre elles en illustration de trois gouaches avec le fameux
« Arrose-zoir ». de cette chanson :
« Elle était souriante »
Très touchant ton petit mot
😘❤️
Merci beaucoup Madame…
la chanson me convient parfaitement: évidemment je vois Alain la chanter en faisant les grimaces que tu imagines…
comme d’hab , bon choix, belle idée.
beaucoup de compliments sur l’excellence du site.